Jan Bucquoy n’est jamais là où l’on l’attend. Le croyait-on performeur, le voilà cinéaste. Le croyait-on artiste-peintre, le voilà footballeur… puis bédéiste, frituriste, sans oublier féministe. Depuis la fin des années 60, il a une constance : celle d’un désordre volontaire, réfléchi, au sens d’une contestation résolue de l’ordre établi. L’amorce d’une révolution. (François Coadou)